Mark Hill, an Ottawa writer, has tried to get rid of the deficit and the debt, but after much general cutting, after: ``slashing old age security, unemployment insurance, health care, social assistance and education by 25 per cent'', and this on top of what he has already cut, he has concluded by writing: ``what if we allowed our elderly to fall into poverty, our sick to go without treatment and our poor to go without decent food or shelter? How many years would we have to suffer after we paid off our debt''?
Un écrivain d'Ottawa, Mark Hill, a essayé de se débarrasser du déficit et de la dette, et après avoir procédé à des compressions généralisées et réduit de 25 p. 100 les budgets de la Sécurité de la vieillesse, de l'assurance-chômage, des soins de santé, de l'assistance sociale et de l'éducation, et ce, en plus des autres compressions, il a conclu en disant que même si on condamnait les personnes âgées à la pauvreté, si on ne soignait pas les malades et si on refusait de nourrir et de loger les pauvres de façon décente, il nous faudrait quand même souffrir pendant 22 ans avant d'avoir complètement remboursé notre dette.