It is only now as world cereal prices – in particular wheat – have almost doubled, forcing up the price of feed, and as pressure on productive farmland grows for biofuels and other non-food crops, that some supermarkets have finally begun to panic at the prospect of an actual milk shortage and, as a result, have started paying dairy farmers a slightly higher price.
Ce n’est que depuis que les prix des céréales dans le monde – en particulier la farine – ont presque doublé, ce qui a fait augmenter le prix de l’alimentation, et que la pression sur les exploitations agricoles de production croît pour les biocarburants et autres cultures non alimentaires, que certains supermarchés ont finalement commencé à paniquer à la perspective d’une réelle pénurie de lait et se sont, de ce fait, mis à payer aux producteurs laitiers un prix légèrement supérieur.