In her criticism of Canadian legislation on drugs, she stated that it [TRANSLATION] “got the better of constitutional guarantees of civil liberties enshrined in Canadian laws .and succeeded in perverting, over the course of many years, from 1961 to 1985, the accusatorial system and the presumption of innocence” (1992:113).
Critique face aux lois canadiennes sur les drogues, elle affirme que celles-ci «ont eu raison des garanties constitutionnelles des libertés civiles enchâssées dans les lois canadiennes .et [qu']elles ont réussi à pervertir pendant plusieurs années, de 1961 à 1985 notamment, le système accusatoire et la présomption d'innocence» (1992:113).