Though the United States reopened the border last Monday to animals over 30 months of age, as well as to meat from animals over 30 months old and breeding cattle, present conditions (non-harmonized regulations for SRMs, increased inspections at the American border, the high Canadian dollar, soaring costs for feed and energy, et cetera) suggest a dark future for the Canadian beef industry, and consequently for the beef producers of Canada and Quebec.
Bien que les États-Unis aient ouvert lundi dernier la frontière aux animaux de plus de 30 mois et à leur viande, ainsi qu'aux bovins de reproduction, la conjoncture, c'est-à-dire la réglementation non harmonisée pour les MRS; l'inspection accrue aux frontières américaines; le dollar canadien élevé; le coût important des grains et de l'énergie, laisse présager un futur sombre pour l'industrie bovine canadienne et, par conséquent, pour les producteurs de bovins du Canada et du Québec.