The basic argument in my remarks is that we Canadians in academic, government and private sectors cannot simply define our relationship with Asia in narrow economic terms, that is, as jobs, jobs, jobs and trade, trade, trade.
Ce que je veux fondamentalement faire valoir ici, c'est que les universités et les secteurs public et privé du Canada ne peuvent pas définir leurs relations avec l'Asie simplement en termes économiques, à savoir des emplois et encore des emplois et du commerce et encore du commerce.