This being so, politicians from the part of Europe which after the Second World War enjoyed a happier fate, – and this is particularly true of Austria – would be well-advised to be moderate in their criticism of the countries such as the Czech Republic’.
C'est la raison pour laquelle les hommes politiques de cette partie de l'Europe qui a connu un sort plus heureux à l'issue de la Seconde Guerre mondiale, cela vaut particulièrement pour l'Autriche, seraient bien avisés de faire preuve de pondération dans les critiques qu'ils émettent à l'encontre de ces pays.