The Commission’s demand to apply judicial cooperation instruments is a demand that introduces virtual harmonisation, not just as regards trafficking, but also as regards, for example, the definition of categories of banned drugs, which therefore prevents the possibility of national reforms on drugs within national legislation.
L’exigence de la Commission de recourir à des instruments de coopération judiciaire introduit une harmonisation virtuelle, non seulement en matière de trafic, mais aussi sur le plan de la définition des catégories de drogues interdites, par exemple. Voilà qui exclut, par conséquent, toute possibilité de réforme des législations nationales en matière de drogue.