In 2003, Christine Cram, then Director General of the Department of Indian Affairs and Northern Development’s Strategic Policy, Planning and Intergovernmental Relations Branch, acknowledged that “[n]one of us is happy with putting in non-derogation clauses at the end of the process to fix a problem that should have been identified much earlier”. [94]
En 2003, Christine Cram, alors directrice générale des politiques stratégiques, de la planification et des relations intergouvernementales au ministère des Affaires indiennes et du Nord canadien, a admis que « [p]ersonne n’est heureux d’inclure des dispositions de non-dérogation à la fin du processus pour régler un problème qui aurait dû être décelé bien avant ».