Why would a population that is 90 per cent Catholic throughout Quebec, except in Montreal, and that has shown no wish to change this status, even if religious observance has admittedly slipped a bit, not reflect this reality in its school system, with due respect, of course, for dissentient religious minorities?
Pourquoi une population à 90 p. 100 catholique dans tout le Québec, - sauf à Montréal, qui n'a pas manifesté le désir d'un changement de statut même si la pratique religieuse, je le reconnais, a fondu un peu - ne refléterait pas dans son système scolaire cette réalité, tout en respectant, bien entendu, la dissidence des minorités religieuses?