Setting aside the confrontation with Quebec and his short-term political interests, does the Prime Minister not find that the best choice, the most obvious choice, the required choice, is to be on the side of these young families, by offering them the best program, that is the one that is part of Quebec's family policy?
Au-delà de la confrontation avec le Québec et de ses intérêts politiques à court terme, le premier ministre ne trouve-t-il pas que le meilleur choix, le choix le plus évident, celui qui s'impose, c'est de prendre le parti des jeunes familles en leur offrant le meilleur programme, soit celui qui fait partie de la politique familiale du Québec?