Would the President-in-Office be prepared at least to convey to his Home Office colleagues my request that an amnesty be granted to such couples, at least where it is recognised that there is a genuine and subsisting relationship, and that the requirement to travel to the country of origin in order to apply for spousal residence be waived?
Le président en exercice du Conseil est-il à tout le moins prêt à transmettre à ses collègues du ministère de l’intérieur ma requête, qui vise à accorder une amnistie à ces couples, du moins lorsqu’il est admis qu’il existe une véritable relation durable, et qui vise à lever l’exigence de se rendre dans le pays d’origine afin de formuler une demande de résidence conjugale?