On the other hand, national rules relating to the tax treatment of dividends from a third country which, like the UK rules at issue, do not apply exclusively to situations in which the parent company exercises decisive influence over the company paying the dividends must be assessed in the light of the Treaty provisions on the free movement of capital.
En revanche, une réglementation nationale relative au traitement fiscal de dividendes d’un pays tiers qui, à l’instar de la réglementation britannique en cause, ne s’applique pas exclusivement aux situations dans lesquelles la société mère exerce une influence décisive sur la société distribuant les dividendes, doit être appréciée au regard des dispositions du traité relatives à la libre circulation des capitaux.