In part, are we dealing with a trade-off between an open, competitive airline industry in Canada with minimum state or government regulation, as compared to, in the new terminology, a " dominant airline" in a more regulated environment?
Faisons-nous face notamment à un choix entre, d'une part, une industrie aérienne canadienne ouverte et concurrentielle soumise à un minimum de réglementation de la part de l'État et, d'autre part, à un transporteur dominant, comme on dit aujourd'hui, évoluant dans un milieu plus réglementé?