With respect to the question of my involvement in these issues, my whole approach with regard to human rights foreign policy, including not only international financial institutions but corporate involvement, is that we cannot have a situation where corporations are themselves, however inadvertent, acquiescing in those violations.
Pour ce qui est de la formulation d'une politique étrangère en matière de droits humains, je suis d'avis que nous ne pouvons tolérer aucune situation où les sociétés, ne serait-ce que par inadvertance, ferment les yeux sur des violations des droits de la personne et cela vaut tant pour les institutions financières internationales que pour les sociétés.