However, we need to be aware that the problem is very much harder for certain poor countries in the South, like Bangladesh and the Philippines, which have been induced by the World Bank and other donors to invest heavily in exporting clothing and apparel products and now find themselves with shrinking export opportunities, a continuous debt burden, no financial means for adjustment of the sector, and misery – especially for millions of women who work for almost nothing in nightshifts in order to undercut the cheapest offer on the market with an even cheaper one.
Toutefois, nous devons être conscients que le problème est bien plus dur pour certains pays pauvres du Sud, comme le Bangladesh et les Philippines, qui ont été poussés par la B
anque mondiale et d’autres bailleurs de fonds à investir de manière importante dans l’exportation de produits d’habillement et qui sont aujourd’hui face à des opportunités d’exportation en pleine réduction, à une dette constante, à une absence de moyens financiers pour l’ajustement du secteur et face à la misère, tout particulièrement pour des millions de femmes qui travaillent pour presque rien et de nuit, afin de réduire encore le coût de l’offre la plus basse du
...[+++] marché.