When a country with a debt as huge as ours anticipates, as the federal government did in its February 1994 budget, a reduction of its deficit based on totally extravagant assumptions regarding interest rates, that does not reassure anyone, let alone creditors, whether in Canada or abroad.
Quand un pays aussi endetté que le Canada prévoit, comme ce fut le cas dans le Budget de février 1994, une réduction dans ses déficits fondée sur des hypothèses de taux d'intérêt totalement invraisemblables, cela ne rassure personne, et encore moins les créanciers, canadiens ou étrangers.