Civilians, often human rights defenders, social activists, journalists and political commentators, trade unionists, the displaced communities of Paez, and indigenous peoples are the most frequent targets for both guerrillas and paramilitaries.
Ce sont des civils, le plus souvent des défenseurs des droits de la personne, des intervenants sociaux, des journalistes et des analystes politiques, des syndicalistes, les personnes déplacées de Paez et des Autochtones, qui sont le plus souvent les cibles des guérilleros et des paramilitaires.