In order for people to seriously question whether there should be an alternative to existing public policy on the control of illegal drugs, they must be able to direct the debate. Unfortunately, this is not often the case, and it certainly was not the case in 1908, when our Parliament passed the first prohibition act, nor was it the case in 1923, when the use of cannabis was prohibited.
Pour qu'on puisse se demander sérieusement s'il doit y avoir une solution alternative aux politiques publiques en matière de contrôle des drogues illégales, il faut que la population soit à même de diriger le débat, ce qui, malheureusement, n'est pas souvent le cas, ce qui n'a certainement pas été le cas lorsque, en 1908, notre Parlement a adopté la première loi de prohibition et certainement pas en 1923, lorsqu'on a prohibé l'usage du cannabis.