Evidence from Vancouver's experience with InSite supports this belief, as there was a significant drop in the number of discarded syringes, injection-related litter, and people injecting on the streets one year after InSite opened.
Et mon point de vue est étayé par les résultats obtenus avec le centre Insite, puisque, un an après son ouverture, il y avait passablement moins de gens en train de s'injecter de la drogue dans les lieux publics, et l'on y retrouvait aussi une moins grande quantité de seringues et d'autres déchets liés aux injections.