Burma, the world’s second-largest drug-producing country, after Colombia, has dismantled its own parliament, has had numerous parliamentarians killed and imprisoned in the process, and forces its minorities into slave labour, especially in the construction of infrastructure. However, it still benefits from investments, including investments from European countries, such as those of the French oil company Total and the Dutch hydraulics industry, and there has been no attempt to block this kind of investment, either on the part of the EU or on the part of national Member States.
Après la Colombie, il s'agit du deuxième pays de la drogue dans lequel le parlement a été démantelé, où d'innombrables parlementaires ont été assassinés ou emprisonnés, où le travail servile est imposé aux groupes minoritaires, notamment pour la construction des infrastructures, et qui malgré tout peut bénéficier d'investissements provenant notamment de pays européens, comme ceux de la compagnie pétrolière française Total et de l'industrie de la construction hydraulique néerlandaise. Ni l'UE ni aucun État membre ne bloque ce type d'investissements.