There seems to me to be confusion in deba
tes between the new economy as a high-tech economy, in
which productivity, growth, and prosperity are to be found in encouraging science, encouraging engineering, and encouraging cooperation between universities, firms, and industries with the provincial and federal government, on the one hand, and the new economy as a knowledge economy, in which there is a growing demand for a highly educated labour force that is being produced by our universities all the way across the board, not just in science, but in social sciences and humanities
...[+++] as well.
Il semble y avoir une confusion en ce qui concerne la nature de la nouvelle économie. D'une part, on fait référence à une économie fondée sur les technologies de pointe, où la productivité, la croissance et la prospérité découlent de mesures pour encourager la science et le génie, et favoriser la coopération des universités, des entreprises et des industries avec les gouvernements provinciaux et fédéral; d'autre part, on parle d'une économie du savoir, marquée par une demande croissante pour une main-d'oeuvre très instruite, produite par nos universités, non seulement en sciences, mais aussi en sciences humaines et sociales.