Indeed, the Canadian Bankers Association, in its submission to the SCFAIT hearings, calls for a greatly restricted lending role for EDC, suggesting " that funded deals by EDC should only be allowed when there is no participation by the private sector. This would put EDC in the same position as ECAs in other OECD countries" (Submission to SCFAIT, 29 November 1999, p. 2).
À ce sujet, dans le mémoire qu’elle a présenté lors des audiences du Comité permanent de la Chambre, l’Association des banquiers canadiens réclame que l’on restreigne considérablement le rôle de prêteur de la SEE et que la SEE ne finance des contrats qu’en l’absence de participation du secteur privé, ce qui placerait la SEE dans la même position que les OCE des autres pays de l’OCDE (Mémoire au Comité permanent des affaires étrangères et du commerce international de la Chambre des communes, 29 novembre 1999, p. 2)