Thus, for example, that which we deem to be Austrian in our own culture is ultimately the product of a heritage drawn from European sources, from an awareness of the significance of the Central European area, from the historical and human links we have with the people of this region, from our practical experience of federalism and subsidiarity, and from the insight our common history has given us, namely that supranationality in no way implies the loss of one’s own identity.
Ce qu'on appelle l'Autrichien est donc aussi le résultat dans notre propre culture d'un royaume que nous avons créé à partir de sources européennes, de la conscience de l'importance revêtue par l'espace d'Europe centrale, des liens historiques et humains avec les peuples de cette région, de la pratique vivante du fédéralisme et de la subsidiarité ainsi que de la reconnaissance par l'histoire que la supranationalité ne signifie en aucun cas un abandon de sa propre identité.