Although the national security adviser was given a “heads-up”, in her words, in January about Mr. Fadden's comments, Madame Morin did not even care to know the specifics of these concerns until August.
Même si la conseillère à la sécurité nationale avait été avisée en janvier des allégations de M. Fadden, M Morin ne s'est même pas intéressée aux détails des allégations avant le mois d'août.