The Geneva convention confirms the right of an individual to request asylum in a third country, but does not oblige the country to which application has been made to grant the request, in accordance with the rights and privileges of nations, whence the common notion that asylum is not a right but a privilege.
Je précise que la Convention de Genève entérine le droit d'une personne à demander asile à un tiers pays mais n'oblige pas le pays sollicité à l'accueillir, en respect des droits et privilèges des nations, d'où la notion courante que l'accueil des réfugiés n'est pas un droit, mais un privilège qui leur est accordé.