However, a key qualifier to be added is a pre-election budget for the 1990s: ``Prime Minister Chrétien and his finance minister have concluded, and rightly so we suggest, that Canadians are in no mood for big spending promises that can't realistically be kept''.
Cependant, il a pris la peine d'ajouter, et c'est très important, que c'était un budget préélectoral pour les années 1990: «Le premier ministre Chrétien et son ministre des Finances avaient conclu, à juste titre, que les Canadiens n'étaient pas d'humeur qu'on leur promette de grandes dépenses alors qu'on ne pouvait pas, de façon réaliste, tenir ces promesses».