To summarize, the current situation is primarily the result of these two features, both the fact that Indian bands and their members are forbidden by federal law from owning the lands on reserves and the fact that provincial family relations legislation cannot apply even to the limited right of possession that Canada has been willing to allow individual first nations persons to have.
En résumé, la situation actuelle résulte essentiellement de ces deux éléments, à savoir le fait que les bandes indiennes et leurs membres se voient interdits par la loi fédérale d'être propriétaires de terres dans les réserves et que la législation provinciale concernant les relations familiales ne peut s'appliquer même au droit limité de possession que le Canada a accepté de consentir aux membres des Premières nations.