The first point, which I also frame as a question to the Commission, is whether this method we have chosen here, with conferences at which representatives of 180 nations have to agree on a joint document, does not ask too much of us, especially when time is pressing towards the end and the differences between the main parties have not yet been settled.
Le premier point, et c'est une question qui s'adresserait à la Commission, est le suivant : la méthode que nous avons choisi d'appliquer, à savoir l'organisation de conférences à l'issue desquelles 180 représentants d'États doivent avoir conclu un texte commun n'est-elle pas une méthode qui nous submerge, en particulier lorsque le temps presse et que les divergences entre les partenaires principaux subsistent ?