While the value of the latter cannot be underestimated as we pull out of this recession, since planes burn about 1,360 kilograms of fuel an hour while waiting to land, travellers, airlines and environment all would benefit from reduced travel time, fuel costs and air pollution''.
Il ne faudrait pas sous-estimer la valeur de ce dernier avantage alors que nous sortons de cette récession. Étant donné que les avions brûlent environ 1 360 kilogrammes de carburant par heure lorsqu'ils attendent pour atterrir, il serait bon pour les voyageurs, les compagnies aériennes et l'environnement qu'on réduise les heures de vol et partant, les coûts de carburant et la pollution de l'air».