Or do we risk having limited resources available through competitive funding, like the Canadian Institutes of Health Research, for diseases that might not get as much attention in the media or might not get our attention at all, but where we have a possibility of coming to resolutions on some cures or better treatments with proper research funded on a competitive peer-reviewed basis, as is done in CIHR and its institutes?
Ou ne prenons-nous pas le risque d'avoir des ressources limitées dues à un financement concurrentiel — comme c'est le cas avec les Instituts de recherche en santé du Canada — pour des maladies qui ne sont pas aussi médiatisées ou dont on n'entendrait peut-être jamais parler, tout en gardant la possibilité de trouver des remèdes ou des meilleurs traitements grâce à une recherche adéquatement financée dans le cadre d'un système concurrentiel soumis à un examen par des pairs, comme c'est le cas dans les IRSC et ses instituts?