The Conservative opposition, fractured as it was, has only itself to blame for Canadians' refusal in 1997 and again in 2000 to accept either of its separate parts as deserving of enough support to win a majority.
L'opposition conservatrice, même fracturée comme elle l'était, n'avait qu'elle-même à blâmer pour le refus des Canadiens, en 1997, puis en 2000, de reconnaître à l'une ou l'autre de ses factions distinctes le mérite suffisant pour rassembler l'appui nécessaire pour obtenir une majorité.