Je voudrais rappeler ici, Mesdames et Messieurs, le débat qui s’est tenu tout au long de cette année sur
les frontières de l’Europe. Il s’agit d’un débat difficile et compliqué qui, vous vous le rappelez, n’a pas pu être entamé dès le début de la législature et qui prévoit l’achève
ment de notre Union avec les pays candidats, plus les pays balkaniques, ainsi que la construction autour de ceux-ci de rapports forts, étroits et amicaux avec nos pays voisins, de la Russie au Maroc, avec lesquels nous devrons tout partager à l’exception de
...[+++]nos institutions, étant donné que notre Union doit avoir des frontières, une force et une profondeur.