The president of Colombia, Andres Pastrana, whom I met with last month, as well as the heads of state of Mexico, Uruguay and many others, is giving the same message: the war on drugs hurts everyone, but it hurts them more, not only the drugs but the ways to combat them.
Le président de la Colombie, Andres Pastrana, que j'ai rencontré le mois dernier, et les chefs d'État du Mexique, d'Uruguay et de nombreux autres pays affirment tous la même chose: la lutte au narcotrafic nuit à tous, mais elle leur nuit davantage, non seulement sur le plan des drogues, mais aussi dans les moyens d'y mettre fin.