Whether it be his broken promise in the 2006 election on the Atlantic accord, which impacted the province of Newfoundland and Labrador, or his bogus commitment in 2008 election not to run a deficit, or his phony guarantee in the 2011 election to balance the books by 2014, the Prime Minister and his Conservative government have made it clear, through their legacy of broken promises, that they cannot be trusted to keep their word.
On n'a qu'à penser à la promesse concernant l'Accord atlantique qu'il a faite pendant la campagne électorale de 2006 pour ensuite la rompre, au détriment de Terre-Neuve-et-Labrador, à son engagement bidon de la campagne de 2008 de ne pas faire de déficit, ou encore à sa fausse garantie faite en 2011 d'équilibrer le budget d'ici 2014. Par leur héritage de promesses trahies, le premier ministre et son gouvernement conservateur ont montré hors de tout doute qu'on ne peut pas leur faire confiance et présumer qu'ils tiendront parole.