Better-run charities may benefit from donations redirected from those that burn more than half of every dollar on fundraising companies and administrative salaries, where the president hires himself as a consultant, where nepotism pays six-figure salaries to spouses and children, where the executives pocket donated prizes, or where the charity helps facilitate a $2.5 billion tax fraud by issuing inflated tax receipts through gifting tax shelters.
Les organismes de charité mieux gérés pourraient profiter de dons réaffectés des organismes qui consacrent plus de la moitié de chaque dollar aux entreprises de collecte de fonds et aux salaires des administrateurs, où le président s'engage lui-même comme consultant, où par népotisme, on verse des salaires de six chiffres aux conjoints et aux enfants, où les dirigeants s'approprient les prix de donateurs, où on facilite une fraude fiscale de 2,5 milliards de dollars en émettant des reçus d'impôt gonflés aux fins d'abris fiscaux pour les dons.