On the bright side, if you were a Kosovar run out of your home who had managed to become a refugee, say across the Macedonian or Albanian border, the significant presence of NATO soldiers, Italian police, and even some of the OSCE verifiers made refugee camp life relatively safe, if not exactly pleasant.
Du côté positif, pour les Kosovars qui ont fui leurs foyers et ont réussi à se réfugier de l'autre côté de la frontière, en Macédoine ou en Albanie par exemple, la présence en masse de soldats de l'OTAN, d'agents de police italiens et même de certains vérificateurs de l'OSCE a contribué à faire en sorte que la vie dans un camp de réfugiés soit relativement sûre, même si elle n'a pas été exactement plaisante.