That shows us one thing: the only way forward for Quebeckers is to take charge of our own affairs and have a country of our own, not because we do not like Canadians—I like most of my colleagues here with whom I have had a chance to go out, have a beer, and so forth—but simply because we are obviously bad for each other.
Cela nous montre une chose, soit que la seule voie pour les Québécois, c'est de se prendre en main et d'avoir leur propre pays, non pas parce qu'on n'aime pas les Canadiens, — j'aime bien la plupart des collègues qui sont ici, avec lesquels j'ai eu l'occasion de sortir, de prendre une bière et le reste—, mais simplement parce que, manifestement, on se nuit mutuellement.