Mr. Murdoch then moved on to a judicial review of our inability to go any further stating to the court that, under the Privacy Act, even if there is no express corrective measure, it must be interpreted as providing for such; otherwise, if there is no remedy whatsoever, it simply defies logic in cases of illegal disclosure.
M. Murdoch a procédé à une révision judiciaire de notre incapacité d'aller plus loin en disant à la cour que, dans la Loi sur la protection des renseignements personnels, même s'il n'y a pas de mesure corrective expresse, il faut lire qu'il y en a, il faut interpréter qu'il doit y avoir un remède quelconque, sinon cela n'a pas de bon sens, dans des cas de divulgation illicite.