What the people of Europe are now waiting for, though, is signals from Europe; we do indeed need the market, we do indeed need internal and external competition, but those in the Netherlands and in France who voted ‘no’ did so not least because they feared that this market, this competition, would wreck their social security, destroying what has been built up over decades.
Ce que les citoyens européens attendent désormais, ce sont des signaux émanant de l’Europe. Nous avons effectivement besoin du marché, nous avons effectivement besoin d’une concurrence interne et externe, mais les électeurs néerlandais et français qui ont voté «non» l’ont fait entre autres parce qu’ils craignaient que ce marché, cette concurrence ne porte atteinte à leur système de sécurité sociale et détruise ce qui a été construit pendant plusieurs décennies.