There is room for criticism of the Russian leadership's lack of candour in handling public relations after the hostages were released, with particular reference to the delay in getting medical aid for the freed hostages and the way their families were prevented from visiting them in hospital. There is also the question of why, unlike the hostages, the special forces that were sent in suffered no adverse health effects through the gas, even though they were operating without gas masks.
On est en droit de critiquer le manque de transparence du gouvernement russe dans la politique d'information qu'il a adoptée directement après la libération des otages, en particulier en ce qui concerne les retards dans l'aide médicale apportée aux personnes libérées, le fait que l'on n'ait pas autorisé la visite des familles dans les hôpitaux ainsi que la question de savoir pourquoi le gaz utilisé n'a eu aucun effet, contrairement à ce qui s'est produit pour les otages, sur la santé des forces spéciales qui sont intervenues, alors qu'elles ne portaient pas de masque à gaz.