If one assumes there are problems with the LICO measure because it is a relative measure as opposed to an absolute measure, and one compares it to the benefits of the basic needs measure, it strikes me that we have a couple of anomalies. Having the money to buy food and shelter, for example, and using that as the cut-off, does not necessarily address the stigma of poverty.
Si l'on tient pour acquis que les mesures fondées sur le SFR suscitent des interrogations parce que ce sont des mesures relatives et non pas absolues, et si l'on compare cette méthode aux avantages de la méthode fondée sur les besoins essentiels, par exemple, et qu'on établit un seuil de cette façon, cela ne touche pas toujours le stigmate de la pauvreté.