In short, although the harm reduction approach can legitimately translate into multiple forms of intervention in response to emergencies in the field, while keeping silent about the law and its effects, it cannot be called a public drug policy nor seek to become one unless the choice of social values that allows us to consider drug users full-fledged citizens creates obligations for the government.
En somme, si l’approche de réduction des méfaits peut légitimement se traduire en de multiples formes d’interventions au gré des urgences sur le terrain, tout en gardant le silence sur la loi et ses effets, cela ne peut toutefois s’appeler une politique publique en matière de drogues ni ne doit prétendre le devenir sans que le choix de valeurs sociales permettant de considérer l’usager de drogue en tant que citoyen à part entière ne crée des obligations à l’État.