Second, surely the national interest of the superpower is to put its traditional allies on the spot, not challenging their right to consultation, but probing what they have to say and how they intend to turn their rhetoric about cooperation into effective, not effete, multilateralism.
Deuxièmement, l’intérêt national de la superpuissance est sans aucun doute de mettre ses alliés traditionnels devant le fait accompli, non pas en faisant l’impasse sur leur droit à être consultés, mais en les sondant sur ce qu’ils ont à dire et sur la manière dont ils entendent traduire leurs discours en matière de coopération en un multilatéralisme efficace, et non stérile.