Due to short-sighted considerations, frequently motivated by pre-election nerves, the report fails to mention that by far the greatest problem facing the unified Europe is how to overcome the effects of half a century of non-market developments in the post-communist Member States.
En raison de considérations malavisées, fréquemment motivées par la fébrilité préélectorale, le rapport oublie de mentionner que la question de loin la plus importante à laquelle doit répondre l’Europe unifiée est de savoir comment surmonter les conséquences d’un demi-siècle de développement non commercial dans les États membres postcommunistes.