First of all, it discriminates on ethnic grounds by relegating the half a million-strong Hungarian community to second-class citizens and their mother tongue to a second-class language. Secondly, it grossly interferes in people’s personal lives, as pointed out by Edit Bauer.
Tout d’abord, elle établit une discrimination pour des motifs ethniques, en faisant du demi-million de citoyens de la communauté hongroise des citoyens de seconde zone, et de leur langue maternelle une langue de seconde zone. Deuxièmement, elle intervient de manière grossière dans la vie personnelle des gens, comme l’a souligné Edit Bauer.