The Commission states in its impact assessment that, on the basis of expert judgement, it could be identified as 'priority hazardous' due to its 'equivalent level of concern', but it then shied away from doing so 'due to the potential impact of such a decision'.
La Commission déclare dans son évaluation d'impact que, de l'avis des experts, la substance pourrait être classée comme "dangereuse prioritaire" mais elle s'est finalement gardée de le faire en raison de l'effet probable d'une telle décision.