Then, when an auditor finds out that there are huge problems in administration, that records are not being kept, that application forms are not being processed, that reasons for grants are not given, that businesses do not know what they have done with their money, that there was pork-barrelling before the election in 1997, we are told that no one is responsible. No one is responsible — not the civil servants, of course; not the senior managers in the civil service; not the deputy minister; not the former minister; not the present minister; not the Prime Minister; not the Liberal government; no one, absolutely no one.
Enfin, lorsqu'un vérificateur met au jour d'énormes problèmes administratifs et constate que les dossiers ne sont pas tenus, que les formulaires de demande ne sont pas traités, que les subventions ne sont pas justifiées, que les entreprises ne savent pas ce qu'elles ont fait de l'argent qu'elles ont reçu et qu'il y a eu du favoritisme avant les élections de 1997, on nous répond que personne n'est responsable, ni les fonctionnaires, bien entendu, ni les cadres supérieurs de la fonction publique, ni le sous-ministre, ni l'ancien ministre, ni la ministre actuelle, ni le premier ministre, ni le gouvernement libéral.