The Charest report, named after the member for Sherbrooke, reduced to next to nothing what was already considered as the bare minimum, the entrance door allowing Quebec to try, one last time, to take its place within the Canadian federation, a springboard for Quebec to get all the powers, all the tools it needed in the areas of social programs, the economy and also culture.
Le rapport Charest, du nom du député de Sherbrooke, réduisait à moins que rien ce qui était déjà considéré comme un minimum, une porte d'entrée pour permettre au Québec de tenter une dernière fois, une ultime fois, de prendre sa place à l'intérieur de la Confédération canadienne. C'était un tremplin pour aller chercher tous les pouvoirs dont le Québec avait besoin, tout son coffre à outils sur le plan économique, sur le plan social, sur le plan de la culture aussi.