One last word, Mr President: this weekend, in front of your European guests – the President of Parliament, the President of the Commission and in front of 2 000 French right-wing business executives – you concluded your speech with words which were interpreted by the trade union movement in its entirety as an incitement – and a very unwise one – by stating that now, when there is a strike, the French people no longer even notice.
Un dernier mot, Monsieur le Président. Vous avez ce week-end, devant vos invités européens, le Président du Parlement, le Président de la Commission, et face à 2 000 cadres de la droite française, conclu votre discours par une formule interprétée par la totalité du mouvement syndical comme une provocation, au demeurant fort imprudente, en affirmant que, désormais, lorsqu'il y a une grève, les Français ne s'en aperçoivent même plus.