Even if it were true that the offender apparently deserved the extent of the foreign sentence, is it up to us to decide that he or she should always serve time in an environment foreign to the individual in all ways, where nutrition, health care and attention to human rights may all be compromised in comparison to the Canadian correctional milieu?
Même s'il était vrai que le délinquant semble mériter toute la rigueur de la peine imposée à l'étranger, nous appartient-il de décider qu'il devrait purger du temps dans un milieu qui lui est étranger à tous égards, où la nutrition, les soins de santé et la prise en compte des droits de la personne risquent d'être compromis par rapport au milieu correctionnel canadien?